« Il n’y a pas de négociation possible sur la décision de la Cour constitutionnelle dominicaine, selon l’ancien ambassadeur Guy Alexandre. Ils doivent retourner sur cette décision discriminatoire et raciste. » D’après le professeur Alexandre, très offusqué, Haïti n’est pas concernée sur le plan juridique, mais le pays l'est sur le plan des « droits humains ». « C’est avant tout une affaire dominicano-dominicaine », dit-il.
Colette Lespinasse du Groupe d’appui aux réfugiés et aux rapatriés (GARR) est du même avis. « Le président Martelly n’a p