Ceux qui ont lu Bonel Auguste, surtout son dernier recueil de poèmes Nan dans fanm, savent que la musique occupe une place importante dans ses vers. Le rythme, le mouvement, la répétition, la danse… C’est une écriture du son, de la cadence mais aussi des cris. Que ce soient des cris d’alarme, des cris d’amour ou tout simplement un cri Lola. Justement, dans ce « roman » de 64 pages, le narrateur anonyme et sans âge entend des cris et les confronte aux cris du saxophone du jazzman américain John Coltrane.
Au commencement était la musique
Le liv
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