2013 devait être une année politique avec des rendez-vous importants à ne pas manquer. Ces rendez-vous, comme la tenue des élections législatives et municipales, sont aux abonnés absents. Présents, et même trop, les écueils, les conflits, les maladresses du pouvoir Tèt Kale qui ont favorisé la radicalisation d'une frange importante de l'opposition qui exige désormais le départ du président Michel Joseph Martelly.
Dans les rues, les manifs gagnent de l'ampleur avec, dans leur sillage, des casses. La peur tend à s'installer et des opérateurs é