Par Roland Léonard
On se demande souvent si l’art n’incarne pas la mythique pierre philosophale des mages et alchimistes, capable de tout changer en or. En effet, en art plastique comme en littérature, en architecture comme en musique, n’importe quel matériau primitif et simple, ordinaire et populaire est susceptible de sublimation par les vertus du savoir-faire et de l’esthétique savante. Le dernier concert auquel nous avons assisté semble l’avoir prouvé.
Le dimanche 10 novembre, dans une des salles de l’hôtel Royal Oasis, 115, avenue Panam
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