Pour un rhum importé, Bicha avilit le vaudou et Barbancourt

Tonton Bicha s’attire la foudre des critiques à cause d’une pub pour le rhum Bakara. Jacky Baboun, l’un des responsables de l’entreprise, dément, explique et partage ses plans.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
04 nov. 2013 | Lecture : 5 min.
Comédien, publiciste, Tonton Bicha crève l’écran et « inonde » les ondes. Son secret se résume en un parfait brassage de liberté linguistique, d’humour et d’intelligence. Il est la poule aux œufs d’or, l’icône des pubs qui fait exploser les ventes. A son actif, il compte des classiques. Mais pas que ça ces temps-ci. Sa dernière pub pour le rhum Bakara l’expose à la foudre de certaines critiques. On digère mal le label « rhum culturel » accolé à Bakara, la banalisation de la préséance à des boissons étrangères et le dialogue d’un adepte vau

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