J'ai rencontré Arnaud Robert depuis l'étranger. J'étais à Lausanne pour couvrir un sommet de l'Organisation internationale de la francophonie. J'avais écrit un texte pour Le Nouvelliste. Il en avait parlé dans Le Temps, journal suisse. J'avais trouvé son ton ironique, mordant, différent.
Quelques mois plus tard, à Pétion-Ville, sous la tôle ondulée de la remise de cinquante mètres carrés qui abritait Le Nouvelliste après le séisme du 12 janvier, pour de bon, je fis sa connaissance. Un jeans, une chemise vague, d'immenses lunettes aux montures
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