6h15. La salle de spectacle de la FOKAL est comble. L'atmosphère est ponctuée de chahuts. Ce n'est guère le moment de porter de costume chic, mais celui de chanter, de rire et de vivre tout simplement. Cinq minutes s'écoulent. Emilia Diaz Chavez, avec son large sourire, s'avance et s'installe devant la scène. Avec cette générosité et cette vivacité qui s'expriment toujours au moment des retrouvailles, elle ne ménage pas sa joie d'avoir travaillé durant une semaine avec de talentueux jeunes Haïtiens. Le signal du début est donné. Des deux côtés
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