L'élection présidentielle égyptienne opposant un ancien dirigeant de l'ère Moubarak un Frère musulman s'est achevée dimanche soir dans un climat tendu entre les islamistes et l'armée qui cherche à consolider ses pouvoirs.
La junte au pouvoir en Egypte s'est formellement attribué le pouvoir législatif jusqu'à l'élection d'un nouveau Parlement, après sa dissolution samedi, et a conditionné la tenue de ce scrutin à l'adoption préalable d'une Constitution par référendum.
Ces mesures sont contenues dans une Déclaration constitutionnelle complé