Cette semaine morose avec le temps couvert et les pluies incessantes aurait pu déprimer plus d’un, s’il n’y avait eu ici et là quelques programmes divertissants pour égayer les esprits.

Non, ce n’est pas le titre d’un roman ni d’un film.

Je suis en train de relire ce livre sur la connaissance de soi et le cheminement spirituel.

Bon ! Voilà que je suis assaillie de messages et d’appels de compatriotes qui me demandent d’intervenir pour eux pour parler de ci ou de ça ! Je veux bien le faire une fois de temps en temps, mais mezanmi c’est pas facile non, parce qu’à chaque fois, plein de gens se mettent à penser que je m’adresse à eux directement de ma part, alors que ce n’est pas du tout le cas.

Je suis très graphique comme vous le savez, et je dois confesser que souvent il m’est arrivé d’illustrer dans ma tête la photo d’une bombe aérosol insecticide avec, au lieu de la photo d’insectes, … Comme si mezanmi les pesticides pouvaient être utilisés pour les pestes sur deux pieds ! Mais ces mauvaises pensées c’était très longtemps, avant que mon grand âge n’amenât la raison dans ma malicieuse caboche.

‘Pito nou lèd nou la’.

Mes chers compatriotes sont les premiers à être pantan et à faire de grandes lames de discussions parce que leurs droits sont lésés par X ; Y n’a aucun respect pour eux ; c’est la faute à l’Etat ou aux différents gouvernements si on les traite de telle ou telle manière, etc.

La superstition, le doute, l’indécision, etc.

Savez-vous qu’il y a de ces histoires qui paraissent invraisemblables tellement elles sont cocasses ? Le hic, c’est que la cocasserie n’est pas forcément universelle, alors ces histoires, ou plutôt les faits qui les constituent, sont dérangeants et souvent honteux … « Rien n’est absolu ».