« La CNDDR n’a produit aucun rapport sur les gens qui vendent et importent des armes en Haïti », a fait savoir Pierre Espérance, directeur exécutif du Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), membre du Groupe de travail sur la sécurité (GTS), en répondant à un journaliste qui voulait savoir si ce groupe entendait rencontrer cette commission dont l’un des membres a fait état d’un rapport remis aux autorités avec des informations sur onze familles impliquées dans le trafic d’armes et de munitions en Haiti