Pour le meilleur ou pour le pire ? 

Ceux qui ont vécu les derniers jours des Forces Armées d’Haïti -- entre le coup d’Etat de juin 1988 et la démobilisation de mars 1995 --, doivent avoir la sensation d'assister cette fois non pas à la chute d'une institution mais à l'écroulement de toutes les structures mises en place par la constitution de 1987.

Frantz Duval
Par Frantz Duval
14 sept. 2021 | Lecture : 3 min.

Ceux qui ont vécu les derniers jours des Forces Armées d’Haïti -- entre le coup d’Etat de juin 1988 et la démobilisation de mars 1995 --, doivent avoir la sensation d'assister cette fois non pas à la chute d'une institution mais à l'écroulement de toutes les structures mises en place par la constitution de 1987.

L'Armée avait mis des années à disparaître, les institutions démocratiques aussi.

Les secousses pour mettre à bas les conquêtes du 7 févier ont commencé bien avant que l'on s'en aperçoive mais on peut dater

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