L’essai de Valérie Armand, diplômée de l’université Columbia aux États-Unis, est le fruit d’une subjugation. Découvrant tôt ce livre, la traductrice et interprète a confié, dans une interview, ignorer qu’elle aurait la possibilité de choisir ce livre comme sujet de thèse. Pour celle qui tombait sur L’espace d’un cillement, à l’âge de seize ans, dans la bibliothèque de son père, le petit bijou de Jacques Stephen Alexis est bâti sur les sens (la vue, l’odorat, l’ouïe, le goût et le toucher).
L’espace d’un cillement