La valse des Jojos

« Petits rats », « gros rats »… Ainsi parlait un Premier ministre de facto dont l’histoire ne gardera du passage au pouvoir que son goût pour les métaphores et les allusions les plus vulgaires.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
16 avr. 2021 | Lecture : 3 min.

« Petits rats », « gros rats »… Ainsi parlait un Premier ministre de facto dont l’histoire ne gardera du passage au pouvoir que son goût pour les métaphores et les allusions les plus vulgaires. Le voilà aujourd’hui victime de cette guerre interne des « rats ». On ne le pleurera pas, et cela ne change rien à la réalité politique et sociale qu’un rongeur remplace un rongeur.

La rhétorique nauséabonde du Jojo sortant avait pourtant un fond de vérité que signalait déjà son remplaçant qui parlait dans un

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