Haïti détient un important potentiel de développement de l’aquaculture et de la pêche continentale (lacs, étangs et rivières). Après Cuba, c’est la deuxième plus grande étendue de zones côtières de la Caraïbe, avec ses 1 535 km de côtes et un plateau continental qui couvre une superficie de 5 000 km2 (USAID, 2010 ; MARNDR, 2010). Cependant, avec toutes ces potentialités considérables en matière de pêche et d’aquaculture, seulement 60 000 personnes seraient impliquées dans la production totale de poissons (MARNDR, 2017), ce qui f