Merci chère Betty et chère Estelle Laure d’avoir fait choix de moi pour prendre la parole ce matin
Cher Serge, cher ami, cher frère
Il ne s’agit pas d’un éloge funèbre. Je m’adresse directement à toi. Car pour moi tu es toujours bien vivant avec un optimisme à toute épreuve, un sourire bienveillant, un entregent et un accueil toujours plein de la chaleur exubérante d’un homme du Plateau Central.
On s’est rencontré en 1963, si ma mémoire est bonne, et après toutes sortes de péripéties, on s’est retrouvé