Si on demande à n’importe qui, même à un leader religieux, quel est le plus grand bien qu’on puisse avoir, on va vous répondre : la santé.
Pourtant depuis quelques années, au moment de présenter les vœux dans les premiers jours du Nouvel An, lorsqu’on me souhaite la santé, de préférence mon souhait à un interlocuteur, c’est la paix, la paix de Dieu. Non pas celle qui vient des hommes qui, eux, pensent au « Si vis pacem para bellum (si tu veux la paix, prépare la guerre), mais celle qui vient de Dieu.
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