Pas question d’alimenter d’une quelconque façon ces discours qui volent au secours de Jovenel Moïse en cherchant des boucs-émissaires à la catastrophe Moïse/PHTK et des raisons de s’étendre sur le secondaire pour éviter de parler ouvertement du principal : la dérive dictatoriale du pouvoir et le blocage qu’il constitue à l’expression démocratique des conflits sociaux et aux transformations réclamées par la majorité vers plus de justice sociale et d’équité. On peut d’ailleurs se demander pourquoi cette dérive dictatoriale est si p