Le département du Nord-Est vient de perdre un de ses meilleurs fils. Il est parti par ce temps dominé par le coronavirus, arrivant pourtant naturellement au bout de sa course. Retiré depuis des mois au milieu de sa famille. S’étant déjà mis en quarantaine bien avant. Du monde et de tout. Comme un oiseau qui se cache pour mourir.
Son départ, par sa discrétion, est exactement aux antipodes de ce que fut sa vie aux facettes multiples. Rien ne semblait prédisposer Jacques Antoine Wasembeck à cette fin apparemment si voilée. Je l’ai