L'OPC en désaccord avec l'ULCC sur le dossier du RNDDH

L'avis de recherche lancé contre l’administratrice du RNDDH, Marie Gesly Damas Jean Pierre, dans le cadre du dossier de la subvention reçue par le RNDDH de la part du Bureau de monétisation des programmes d’aide au développement (BMPAD), a donné lieu à des échanges houleux entre l'Office de la protection du citoyen (OPC) et l'Unité de lutte contre la corruption (ULCC). Les deux institutions étatiques se reprochent de partisannerie et d'abus de pouvoir.

Ricardo Lambert
Par Ricardo Lambert
12 mai 2020 | Lecture : 2 min.

Dans une première lettre de l'OPC en date du 11 mai, l'OPC avait questionné le bien-fondé de la démarche consistant à émettre un avis de recherche contre Mme Jean Pierre alors que les informations disponibles et confirmées montrent que les responsables du RNDDH ont communiqué en date du 24 mars 2020 une copie du rapport détaillé, adressé au BMPAD ainsi qu'à la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif, relatif à l’utilisation du montant de 1,5 million de gourdes reçues du BMPAD. 

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