Le président Jovenel Moïse a fait le dos rond, s’est accroché au pouvoir et a survécu, après février 2018, à un autre temps fort dans la mobilisation de l’opposition politique. Il semble se renforcer de la maladresse et du déficit de confiance de certains de ses adversaires.
Le « lòk » interminable, la fermeture de l’école depuis deux mois, l’instrumentalisation de gangs armés dans le combat politique et les exactions signalées ici et là ont provoqué des tiédeurs.
Les appels à manifester de l’opposi