Institutions : entre le coup par coup et le coup de pied de l’âne

Puisqu’il ne s’agit plus de diriger (avait-il jamais été question de cela ?) pour le pouvoir et ses sbires, mais seulement de se maintenir en place, on peut dire de tenir le coup, pour continuer impunément à profiter des biens de la nation, la vie des institutions tout est une vulgaire affaire de coups.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
17 mai 2019 | Lecture : 3 min.

Puisqu’il ne s’agit plus de diriger (avait-il jamais été question de cela ?) pour le pouvoir et ses sbires, mais seulement de se maintenir en place, on peut dire de tenir le coup, pour continuer impunément à profiter des biens de la nation, la vie des institutions tout est une vulgaire affaire de coups. Bas. Tordus. Au propre comme au figuré.

Qu’importe le sort de la nation, quand on a un bon coup de fourchette et un appétit d’ogre pour les biens matériels, on ne fait pas le détail et tous les coups sont bons pour

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