Je brûlais d’envie de t’écrire, il y a belle lurette. Je voulais le faire, dans tes moments paisibles, pour te redire mon amour et combien je me sens bien chez toi. J’ai toujours eu de douces confidences à te faire. C’est dommage que le procrastinateur, que je suis trop souvent, a attendu tes moments agités et ton état de désarroi pour, enfin, t’envoyer ce courrier. Mais le vieux cliché a aujourd’hui encore sa place: il n’est jamais trop tard pour bien faire. Et ma missive, en ce moment crucial de ton histoire, va au-delà de mes capri