Sans surprise, la privation de la devise américaine aux bénéficiaires des transferts a fini par faire partie des revendications – à côté de l’inflation, de l’insécurité… - d’une population qui en a ras-le-bol. Bientôt la rareté de l'essence fera monter la tension. Il y a du soufre dans l'air. L'incertitude est pesante. Pourquoi la BRH ne jette-t-elle pas du lest sur la question brûlante des transferts? Le raidissement, la radicalisation est-il devenu un mode de gouvernance? Ce serait fâcheux.
Gérald Germain dénonce la