Dans le lot de ceux qui s’attendent à occuper les postes autrefois prestigieux de maire, député, sénateur, président de la République, il en est qui savent qu’ils ne peuvent le (re)devenir que dans des circonstances néfastes pour la nation, portés par la magouille, la corruption et des « élections » à la pointe du fusil. On se souvient des conditions dans lesquelles ont été « élus » les hommes de la bande à B… et de législatures aux allures de cavernes. Il y a ceux, comme hier, qui ne réclament qu’une parodie