« Cette attaque constitue un acte de barbarie, de sauvagerie sans nom, et porte atteinte à l’essence de la République, aux droits de l’homme et aux valeurs civilisationnelles. Bref, cette mort est la résultante des faiblesses institutionnelles. On pourrait dire que c’est la mort de nos institutions. Pour penser Haïti, il faut d'abord penser à refaire les institutions républicaines », se positionnent ces universitaires qui ont formulé leur proposition de sortie de crise.
Afin de mieux aborder la situation, le «