Indigné. Méprisé. Révolté. Le sang coule à flots dans les rues. Les humains s’entretuent et leur vie est achalandée dans une vague ignorance. Il y a cette campagne pour les tombeaux blanchis qui nous empêche d’y voir clair, tant que ce qui nous fait être n’est plus humain ; ce qui nous fait vivre n’existe plus ; ce pour quoi nous vivons est indescriptible. Une parfaite cohabitation entre le mental qui nous fait peur et le social qui nous tue à petit feu nous porte à dilater la barrière de l’identité pour ne plus être comme avant, pour ne