La politique étrangère d’Haïti (5/6) : Culture et diplomatie

La culture est très souvent perçue comme un luxe de pays riche, rarement pour les non initiés comme un facteur d’influence et de domination.

 Dalencour Xavier xdalencour@gmail.com
Par Dalencour Xavier xdalencour@gmail.com
19 juin 2020 | Lecture : 6 min.

La culture est très souvent perçue comme un luxe de pays riche, rarement pour les non initiés comme un facteur d’influence et de domination. La puissance culturelle d’une nation, son soft power, par opposition au hard power (armées, défenses, etc.) peut-être plus ou moins ressentie avec intensité  selon les domaines où elle s’applique.  Le soft power cherche à influencer, à convaincre, à créer de l’adhésion. En ce sens, les églises Évangéliques américaines implantées en Haïti font autant partie du soft power des Etats-Unis

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