Hommage à Jean-Garry Chéry

De l’agent de sécurité au portail du parc industriel de Caracol en passant par les restaurateurs « Ti machann manje kwit », les ouvriers d’entretien des espaces verts, appelés généralement « desherbeurs », les chauffeurs d’autobus, les cadres de différents services, le personnel de l’administration du parc, les tenants, un nom résonne au quotidien : Jean Garry Chéry.

Jude Martinez Claircidor,  journaliste
Par Jude Martinez Claircidor, journaliste
16 déc. 2019 | Lecture : 3 min.

De l’agent de sécurité au portail du parc industriel de Caracol en passant par les restaurateurs « Ti machann manje kwit », les ouvriers d’entretien des espaces verts, appelés généralement « desherbeurs », les chauffeurs d’autobus, les cadres de différents services, le personnel de l’administration du parc, les tenants, un nom résonne au quotidien : Jean Garry Chéry.

Au village EKAM où il s’était installé depuis un certain temps, tous les notables encensent la compagnie de ce sexagénaire hostile

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