« Je ne compte pas gaspiller ma salive pour rien cette année », répond avec frustration la responsable de l’école nationale République du Venezuela, lors d’une visite d’une équipe du journal le mardi 27 août. Erlande Bazile vit la même situation pendant 10 ans et la prend comme un mauvais rêve.
Le constat est criant à quelques jours de la réouverture des classes. Le pavillon métallique est troué et exposé aux eaux de pluie. Des salles de classe abandonnées et dépourvues de banc. Le délabrement des pl