« Ou wè sa k brakaj la ? Paske mwen, m chèche l jistan fim nan fini m pa wè l », me demande à la fin du film une jeune dame, sa fillette sur les bras. Contrairement aux autres qui ont dû squatter le sol ou rester debout comme un arbre pendant tout le déroulement du long-métrage, cette locataire de Santo a eu la chance de se déplacer assez tôt et se trouver une bonne place avec sa fille et sa nièce dans un Parc historique de la Canne à sucre plein à craquer. « Braquages en série », hormis la machine publicitaire qui a été mise en branle pour