La population ne comprend pas que les bandits défient la police, selon Jovenel Moïse

Le Dg de la PNH, Michel Ange Gédéon, exalte l’action des citoyens, des citoyennes dans la préservation de la paix dans les communautés, prévient les bandits de cité de Dieu qu’ils ont le choix entre la prison et le cimetière s’ils ne renoncent pas à leurs activités criminelles. Si le Dg a indiqué que la PNH commence à perdre patience, le président Jovenel Moïse veut des actions parce que "la population ne comprend pas qu’un groupe de caïds et de criminels puisse lancer des défis à sa force publique de sécurité".

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
19 sept. 2018 | Lecture : 5 min.

Les fusillades dans les quartiers situés à l’entrée sud de la capitale n’en finissent pas de faire des victimes. Semaine après semaine, mois après mois, les gangs de Grand-Ravine, de Ti Bwa, des cités de Dieu, de l’Eternel ont renforcé leur territoire et entretiennent un climat de terreur de jour et de nuit. Les responsables des pouvoirs publics, jusqu’ici, n’ont que leurs mots, leurs promesses pour ramener un seuil de sécurité vivable pour les résidents de ces quartiers. Le chef de la police, Michel Ange Gédéon, à la graduation de la 29e pr

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