Il n’y a pas si longtemps que j’ai eu un nouveau regard sur cette marque d’attendrissement entre les Haïtiens, cela touche autant les jeunes que les adultes, autant les femmes que les hommes.
Quand on croise une connaissance ou un inconnu, soit dans la rue, dans une camionnette, à l’église, sur un lieu de travail, au marché ou supermarché, soit au téléphone ou à travers un sms ou sur les réseaux sociaux, on entend souvent cette appellation qu’on utilise désormais « bébé », « chéri,e », « ti dou », « bae », « ti chou », « chouchou », «