Qui ne connaît pas ces stressés ou ces fêtards qui aspirent, inhalent, expirent cette affreuse fumée bleuâtre et toxique tout en laissant brûler cigarette sur cigarette dans un cendrier, histoire d’en avoir toujours une sous la main. Je les appelle volontiers des sans-gêne. Mais ce qui me trouble c’est que les restaurants et lieux publics chez nous leur permettent ces indélicatesses, pis, ils les encouragent. Appât du gain ? Au détriment des autres clients qui eux ont eu la mauvaise idée de n’être pas des fumeurs ?
Je suis souvent rentrée ch