Les parlementaires s’en mordront un jour les doigts. Ils ont déshabillé la présentation de la politique générale pour la réduire à sa plus simple expression. Ils ont décrédibilisé l’interpellation des ministres. Ils n’ont jamais pu introduire un rendez-vous hebdomadaire ou mensuel avec le gouvernement pour le soumettre à la Question. Sans vergogne, les parlementaires traînent sans arrêt dans les couloirs des ministères mendiant e