Non ! Le titre est mal choisi car, pour qu'il y ait cauchemar, il faut qu'il y ait sommeil. Et cela est impossible aux résidents de la Tête de l'Eau et des rues à l'entour, les nuits de karaoké et les cinq autres nuits où le Garden Studio fonctionne.
« Du plaisir, on en cherche toujours », écrit la chroniqueuse. A quoi le voisinage répond : « Du repos, on en cherche désespérément et on en manque tout au cours de la semaine. » La file de luxueuses voitures, avec son pourcentage « U.N » et ONG internationales, on connait ! Et on connait aus