« Je n'irai pas au tribunal ce matin. Il n’y a pas d’électricité pour travailler et les portes sont fermées », a fait savoir un greffier au tribunal de première instance de Port-au-Prince, jeudi matin. C’est la réalité du palais de justice de Port-au-Prince depuis plus d’un mois. De temps à autre, une coupure d’électricité oblige personnels judiciaire et parajudiciaire, auxiliaires de justice ainsi que les justiciables à quitter les locaux de cet ancien bâtiment de l’USAID.
« Depuis lundi, il n'y a pas d'élec