Au cours d’une session virtuelle du Conseil de sécurité de l’ONU le lundi 22 février sur Haïti, la représentante de la France a fait savoir que son pays était préoccupé par la dégradation de la situation en Haïti. Après avoir peint un tableau peu réjouissant de la réalité dans le pays, évoquant le président Jovenel Moïse qui dirige par décret depuis un an, la révocation des trois juges de la Cour de cassation, l’impunité, l’insécurité, entre autres mauvaises notes, Nathalie Estival-Broadhust a affirmé que « cette situation n’est