Dans tout pays normal, la crise sans nom que le pays vit depuis des mois aurait provoqué deux réactions : la recherche d’un compromis ou un soulèvement.
Un secteur de la société civile suffisamment concerné ou suffisamment fort aurait invité les deux camps – pouvoir et oppositions – à s’asseoir jusqu’à ce qu’une entente soit trouvée pour permettre au pays de vivre normalement sans l’hypothèque des arrêts récurrents qui pénalisent le plus grand nombre et chaque initiative.
Ce secteur – Église, finance, commerce ou