Samedi 12 et lundi 14 septembre, la capitale haïtienne a vécu des scènes de panique orchestrées par ceux qui sont chargés de la protéger et de la servir.
Depuis février dernier, la police qui fait du désordre est devenu une routine. Les mouvements sont annoncés et sont exécutés. Policiers, anciens policiers, sympathisants de tous horizons se mettent ensemble pour forger un ordre nouveau.
Plus personne ne s’étonne de voir des policiers en uniformes, avec armes et munitions, gagner les rues, tirer en l’ai