Roland Léonard
Vous parlez d’un boléro ! Il a bercé la mélancolie de beaucoup de mal-aimés, il a fait danser beaucoup de couples à Cabane-Choucoune et ailleurs.
Cette complainte, bien sûr, fait ricaner un peu les jeunes d’aujourd’hui, qui se demandent pourquoi tant de dramatisation ou de théâtre, chez un soupirant. Pourquoi désespérer ? Une de perdue, dix de trouvées. Ce n’est pas si simple. C’était l’esprit de l’époque, du boléro, avec des accents mélodramatiques et solennels.
Admirons la culture c