L.N.: Définitivement enseigner en Haïti est un drame.
Dieulermesson Petit-Frère : Enseigner en Haïti a toujours été un drame. Personne ne l’a jamais compris ou plutôt n’a cherché à le comprendre – les décideurs en premier. Le drame, pour reprendre une phrase du roman « Le chant des blessures » de Sybille Claude, « c’est le quotidien des masses. Ces hommes et ces femmes sans lendemain que la vie piétine au quotidien ». C’est le cas des enseignants que tout le monde semble ignorer, alors que c’est sur eux&