Bien que je reste à la maison et que je prends beaucoup de précaution : je nettoie instantanément tout ce qui est touché, je tousse et j’éternue dans mon coude et je lave mes mains fréquemment, je n'arrive pas à croire que des gouttelettes beaucoup plus petites que les postillons d’un banal rhume peuvent conduire à une infection pulmonaire sévère. Que ces gouttelettes microscopiques arrivent à me rendre esclave des habits et des chaussures de ma mère qui sort tous les jours pour me trouver de quoi manger. Cette situation ronge ma