Henri J. Piquion
J’ai été réveillé hier par la nouvelle que l’église de Milot a brûlé. Je ne rêvais pas car j’ai pu voir les images retransmises par tous les médias sociaux des flammes qui montaient au ciel. C’était au lendemain de Pâques. Personne n’aurait été surpris de s’entendre dire que ce « désastre » (Prosper Avril) est le prix à payer pour nos inconduites chroniques, mais que les flammes emportent loin de nous les saletés dont elles nous ont purifiés.
Fermons-nous les yeux et croyons que cet incen