Festival international de jazz de Port-au-Prince/14e édition

Le bonheur d'écouter Dee Dee Bridgewater

Sur la scène d’Heineken, à l’hôtel Karibe, au lever de rideau du Papjazz, le samedi 18 janvier, la chanteuse de jazz américaine Dee Dee Bridgewater a donné une dimension inégalée au festival international de Jazz de Port-au-Prince.

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
20 janv. 2020 | Lecture : 3 min.

Sur la scène d’Heineken, à l’hôtel Karibe, au lever de rideau du Papjazz, le samedi 18 janvier, la chanteuse de jazz américaine Dee Dee Bridgewater a donné une dimension inégalée au festival international de Jazz de Port-au-Prince. C’est une professionnelle racée qui nous a fait découvrir les standards de jazz de tous les temps. On sent la patte des grands jazzmen avec qui elle a évolué à l’âge d’or du jazz aux côtés de Dizzy Gillespie, Sonny Rollins, Dexter Gordon, Max Roach et pourquoi ne pas dire aussi son père, le t

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