Liberté de la presse, Haïti marche à reculons

La presse haïtienne n’est pas de tout repos sous la présidence de Jovenel Moïse. Les journalistes, comme dans le passé, sont victimes d’assassinat, de bastonnades, de menaces et d’intimidations surtout en cette période de crise. Des organisations de patrons de presse ainsi que des organismes de défense des droits des journalistes locaux et internationaux appellent le gouvernement à prendre des mesures pour stopper cette spirale de violence contre les médias et les journalistes.

Jean Pharès Jérôme
Par Jean Pharès Jérôme
21 nov. 2019 | Lecture : 7 min.

« Reporters sans frontières (RSF) et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), deux organisations indépendantes de défense de la liberté de la presse, tiennent à vous faire part de leur plus grande inquiétude quant à l’accroissement des menaces et des violences envers la presse en Haïti et le manque de réponse adéquate de la part du gouvernement », ont écrit les deux organisations internationales de défense de la liberté de la presse dans une lettre au ministre de la Justice et de la Sécurité publique ai, Jean Roudy A

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