« Ferme les yeux, ouvre la bouche, avale », un manifeste sur la politique du pire

Après la publication de son essai « Au nom du peuple, du fric et du sain d’esprit » en 2015, Frédéric Boisrond, sociologue québécois d’origine haïtienne, revient avec un autre titre de sa série Mythes, vérités et mensonges sur la démocratie, intitulé : « Ferme les yeux, ouvre la bouche, avale ». Dans ce nouveau livre de 132 pages, l’auteur restitue et analyse des faits qui cinglent tel un coup de cravache en pleine figure.

Eunice Eliazar
Par Eunice Eliazar
06 nov. 2019 | Lecture : 3 min.

« Ferme les yeux, ouvre la bouche, avale » publié en 2017 peut être considéré comme un réquisitoire face à tous les fléaux qui encombrent une couche de la population mondiale qui vit dans la crasse, l’indignité, l’opprobre, les déceptions, la mendicité, l’incertitude et des formes de prostitutions les unes plus infamantes que les autres. Avec des sous-titres cinglants, Frédéric Boisrond affirme son intronisation dans la sociologie de l’action en mettant le cap sur des inconduites macabres d’une élite en faillite. Parado

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