A la nouvelle des banques commerciales qui décident de réduire le spread de deux à moins d’une gourde sur le taux de change pour tenter dans un dernier geste de sauver les meubles entre la gourde et le dollar américain, le client demeure perplexe. Outre l'insécurité ambiante qui anime toutes les conversations de la république, le sujet est partout. Triste sort de la monnaie nationale. Une gourde qui perd de jour en jour de la valeur au point qu'on l’appelle « zòrèy bourik ». Désormais, chacun dans sa sphère attend le jour o