Dans un texte optimiste paru dans Le Nouvelliste du jeudi 3 mars 2005, notre rédacteur Claude Gilles écrivait : « L'Electricité revient lentement à Port-au-Prince dont les deux millions d'habitants étaient sans courant à la chute d'Aristide. » L'augmentation des heures de distribution d'énergie électrique dans la zone métropolitaine est une évidence pour ceux qui, noyés dans le pessimisme social de ces derniers temps, pensaient que la capitale, essoufflée de brusques coupures, finirait par toucher le seuil du black-out absolu.
Au milieu de