Les vieux démons troublent encore la fragile sérénité de l'institution électorale qui prévoit des élections générales à la fin de l'année. Depuis deux jours, une profonde mésentente s'installe au sein du Conseil électoral provisoire dont les deux plus importants membres réclament des "primes de risques" du chef du gouvernement. La mèche a été vendue par le représentant des partis non-alignés, Patrick Féquière. Ce dernier a révélé que le président du CEP et le secrétaire général ont, à l'insu des autres membres du corps, sollicité des primes de