Le matin du mercredi 12 janvier 2005, je me suis levé d'un bon pied. Ayant bien dormi. Alternant, d'habitude, entre "La danse des mots" muée en "Langue vivante" d'Yvan Amar et "Le rendez-vous des amis de la prière "d'Evelyne, la réception par satellite de RFI étant mauvaise, je reste branché sur la seconde émission. Pendant que s'élèvent majestueusement les chants religieux, mes pensées reviennent tout de même à des préoccupations linguistiques. Voilà ce qui en ressort:
Un artiste se donne toutes les libertés, non seulement dans l'expression